vendredi 29 décembre 2006

Progrès...

Je dois admettre que mon petit soumis a déjà fait d’énormes progrès. Il avait une fâcheuse tendance à faire des commentaires durant les sessions, souvent par rapport à ce qu’il aimerait que je lui fasse. Puisque je débutais dans la domination, j’étais assez tolérante. Cela me permettait, entre autre, d’apprendre ce qui lui plaisait et de comprendre son mode de fonctionnement. Hors, bien qu’au début, j’étais très indulgente, j’accepte beaucoup moins ce genre de comportement. Un soumis qui essaie de dominer ou de donner des directives depuis sa position inférieure fait preuve d’un comportement exécrable, particulièrement quand la personne qui domine a été très claire sur le fait que c’était une attitude détestable. Il est bien sûr permis d’exprimer des envies, des désirs, ou des peurs quant à certaines pratiques ou situations. Mais un soumis parfait doit toujours se montrer obéissant, humble, docile et respectueux, et doit en tous temps se souvenir de sa position subordonnée.

Mais comme je disais, il progresse. Il fait encore de temps en temps des commentaires, mais il s’améliore et il apprend gentiment à simplement accepter ce que j’ai envie de lui faire, et à y prendre du plaisir parce que j’y prends du plaisir. C’est le cas notamment en ce qui concerne la douleur. Il supporte les coups et certains, disons, désagréments, mais sa tolérance à la douleur est beaucoup moins élevée que l’intensité que j’aimerais lui infliger, ou tout du moins c’était le cas au début. Il m’a dit récemment qu’il était prêt à avoir très mal pour moi, pour me montrer à quel point sa soumission était sérieuse. Je dois dire que c’est très apprécié, et que je ne m’en suis pas privée lors des deux dernières séances avec lui. Une couille après l’autre, j’ai enserré ses parties intimes dans mes mains pendant des instants que j’aurais voulu faire durer des heures. Savoir qu’il souffre, et qu’il le fait pour moi, pour mon unique plaisir et parce que ça m’excite de l’entendre gémir, me donne un extraordinaire sentiment de pouvoir et de contrôle sur lui. J’aime énormément l’entendre crier, et savoir que la douleur est tellement intense qu’il n’arrive pas à étouffer ses cris. Je prends un immense plaisir à lire dans son regard ce mélange d’intense douleur, mêlée à une soumission totale à mes envies. Je me demandais quelle intensité de douleur il lui faudrait pour que la supplication se lise dans son regard. Maintenant, je le sais. Mais je veux aller plus loin encore. Je sais que je n’ai pas encore atteint ses limites. Une fois que ce sera le cas, je vais gentiment les repousser.

À part l’excitation et l’envie de le faire souffrir, j’ai aussi ressenti un autre sentiment, qui m’a encore plus surprise que le reste. C’est plutôt un sentiment que j’ai ressenti par après, quand j’en ai eu fini de torturer ses couilles, quand je l’ai finalement détaché, et que je caressais doucement son corps pour qu’il se détende et qu’il se remette gentiment de la douleur. Ce sentiment inattendu, c’était en fait de la fierté. Aussi surprenant que cela puisse paraître, j’ai ressenti de la fierté qu’il accepte de souffrir ainsi pour moi et mon plaisir, pour me prouver sa soumission. Fierté d’une Maîtresse envers son soumis. Quand il souffre ainsi pour moi, je ressens plus que jamais à quel point il m’appartient quand il se soumet à moi.

lundi 25 décembre 2006

Joyeux Noël!

Noël est devenu le temps des échanges de cadeaux... Respectons donc cette nouvelle tradition, en lui donnant un peu plus de piment. Pas de chaises à bascule, de poupées, ou de trains électriques cette année... Non... juste quelques photos de ma pute bien offerte à sa Maîtresse. Écartée sur le lit, prête à se faire enculer.








Et pour ne rien perdre du spectacle, voici des photos en gros plan de son petit cul:








J’ai pensé que les lecteurs et lectrices apprécieraient le geste. Est-ce que ça ne vous donne pas tout simplement envie d’enfoncer une bonne grosse bite dans son cul, et de la prendre comme une pute, sans lui demander son avis? Juste de l’enculer, et de se délecter de ses gémissements...

À moi oui...

lundi 18 décembre 2006

Dressage

La petite pute et moi ne vivons pas dans une relation 24/7. Nous n’avons pour l’instant que des séances ponctuelles, avec un début et une fin plus ou moins délimités. J’exerce parfois un certain contrôle sur lui en dehors des séances, mais il garde tout de même une liberté plus ou moins totale sur ses activités, ses relations et son emploi du temps. Cependant, comme le titre de ce blog l’indique, il s’agit néanmoins d’un dressage. Bien que nos séances ne soient que ponctuelles, je n’exige pas moins de lui qu’il se comporte exactement comme je l’ordonne durant celles-ci, et d’une manière correcte en dehors des séances. J’en suis à mes débuts dans la domination, mais je deviens déjà de moins en moins tolérante.

Que ce soit à travers la douleur, l’humiliation, la peur, les menaces, la persuasion, la douceur, ou tout autre moyen, je vais faire progresser ma petite pute et l’amener gentiment à faire des choses qu’elle n’a jamais encore fait pour qui que ce soit. Cela va très certainement prendre plusieurs mois, mais j’ai l’intention de la rendre complètement soumise à sa Maîtresse, prête à faire tout ce qui me fera plaisir. Ma petite pute prétend n’avoir que peu de limites. À savoir, douleur extrême (c’est-à-dire, par exemple, jeux d’aiguilles, de couteaux, scarification et branding), exhibition dans des lieux publics non BDSM (quoique exhibition dans des lieux non BDSM éloignés de sa ville, pendant de courtes durées et complètement travesti, ne fait pas partie de ses limites) et scatologie. Et bien sûr, safe sex et hygiène (un gang bang sans protection, dans les toilettes d’une aire d’autoroute, au milieu de vieux gars poilus et à l’hygiène douteuse, serait par exemple une de ses limites... ce qui est compréhensible).

À noter cependant, que dormir dans une cage après que je lui aie pissé dessus jusqu’à ce qu’il y ait une flaque de pisse par terre ne fait pas partie de ses limites. Se faire enculer par des inconnus que j’aurais soigneusement choisis dans un club ou online ne fait pas partie de ses limites non plus. Servir d’objet sexuel pendant une soirée où j’aurais invité des ami-e-s non plus. Au contraire. Certaines de ces situations -et beaucoup d’autres- font partie de ses fantasmes. Maintenant, certaines personnes ont des fantasmes qu’elles ne souhaitent pas réaliser. Cela ne semble pas être le cas de ma pute. Elle se dit prête à faire beaucoup de choses. Ce qui me donne pas mal de possibilités. Je lui ai cependant dit de bien faire attention, de bien réfléchir à ses limites, et de les redéfinir si elle en ressent le besoin. Ce n'est pas au moment de se faire enculer par une personne de mon choix qu'elle aura le loisir de négocier ses limites. Je ne sais pas encore exactement où cette expérience va nous mener, mais on verra bien, le moment venu, si elle est vraiment prête à faire tout ce qui sera exigé d’elle.

lundi 11 décembre 2006

Bienvenu...

Bienvenu sur ce blog…

J’ai décidé de créer cette plate-forme pour plusieurs raisons. Les voici, dans le désordre:

J’aime beaucoup écrire. Les mots ont pour moi ce pouvoir de décrire les événements et de révéler certains aspects d’une situation, certains revers de ma propre personnalité, que tout autre moyen d’expression ne peut égaler de la même manière. Pourquoi écrire sur Internet, me demanderez-vous. Un journal intime ne pourrait-il pas jouer ce rôle d’introspection ? Une raison, toute simple: outre le fait que les lecteurs et les lectrices auront ici un rôle particulier –consciemment de leur part ou non- je suis comme tous les écrivains ou aspirants écrivains… j’aime que mes textes soient lus, et si possible, appréciés. Et Internet me donne l’opportunité d’avoir exactement cela, sans trop d’efforts.

De plus, j’ai encore plus de plaisir à écrire sur un sujet qui me passionne. Vous l’aurez compris, les activités BDSM seront le sujet principal de ce blog. Loin de moi l’idée de tenir une lecture sur la signification de ce terme, sur les activités qui y sont liées, sur le développement historique de ces pratiques, ou que sais-je encore. Bien qu’il faille sans aucun doute des années pour devenir expert sur le sujet, pour approfondir ses connaissances sur les techniques, les pratiques, l’histoire, et le reste, une lecture un tant soit peu ciblée de quelques heures suffit pour s’en faire une idée très générale (ne serait-ce que pour apprendre ce que l’acronyme BDSM signifie). Internet est un moyen formidable, et bien que ce réseau soit le rendez-vous d’une masse incalculable d’imbécillités, il suffit d’un minimum d’esprit critique, d’intelligence et de recherche pour séparer le bon du mauvais. Donc, quelques heures suffisent pour éveiller l’intérêt et se rendre compte de la diversité des pratiques que le terme englobe. Je vous laisse donc faire vos recherches.

Une autre des raisons qui me donne envie de commencer ce blog est une raison plus personnelle, une découverte plus personnelle même. Après des années d’obscurité où je pensais apprécier uniquement la soumission et ses plaisirs, j’ai découvert très récemment que finalement, la domination m’attire d’une façon que je n’aurais pas cru il y a encore quelques mois de cela... La soumission reste quelque chose que j’aime beaucoup, mais dominer m’apporte des plaisirs jusqu’à présent insoupçonnés. Et j’ai très envie de relater mes nouvelles expériences ici, et de voir ma progression...

Cependant, la raison principale qui me pousse à créer ce blog est d’une toute autre nature... C’est le côté sadique qui se réveille avec de plus en plus de force en moi qui prend tant de plaisir à créer ce blog. Et c’est ce même côté sadique qui va la plupart du temps s’exprimer ici.

Vous allez, au fil des jours, découvrir ma petite pute, la personne avec qui la domination a pris une toute autre signification pour moi. Au fil des articles, vous allez la découvrir de plus en plus intimement. Cela ne signifie pas que vous allez apprendre à connaître ma pute à travers ses mots et ses pensées. Non. Elle n’a absolument aucun contrôle sur ce blog, aucun moyen d’y ajouter des articles. Le seul moyen qu’elle a de s’exprimer dans cet espace est de laisser des commentaires. À moins qu'elle ne reçoive l'ordre d'écrire un article sur un sujet précis. Dans les deux cas, la décision finale de publier l'article ou de laisser ses commentaires intacts me revient.

Donc, ce n’est pas principalement à travers ses écrits que vous allez apprendre à la connaître. Bien sûr, mes propres écrits vous renseigneront d’une manière très détaillée sur ce que ma petite salope doit subir, et comment elle évolue. Mais vous allez surtout la connaître à travers les innombrables photos que j’ai l’intention de publier sur ce blog. Le seul accord que nous avons est que son anonymat doit être préservé. Pour tout le reste, je peux faire ce que je veux de son petit cul de pute sur ce blog.

Amusez-vous bien... c’est surtout pour cela que les écrits et les photos que vous allez découvrir ont été publiés: pour que vous passiez du bon temps à vous rincer l’œil et à profiter de l’humiliation et de l’impuissance de ma pute.